« En gestion privée, le premier rôle en est un de fiduciaire, c’est-à-dire la responsabilité d’agir dans l’intérêt supérieur du client », explique Jean-Paul Giacometti, vice-président, Corporation de placement Claret. Malgré toute leur bonne volonté, les banques ont de la difficulté à ne pas se retrouver en situation de conflit d’intérêts, selon le vice-président de Claret. Et c’est pourquoi les firmes indépendantes ont également leur place dans le secteur de la gestion privée.