Malgré les faibles rendements des indices boursiers nord-américains au premier trimestre, le gestionnaire de portefeuille Vincent Fournier, de Claret, soutient que les investisseurs doivent éviter à tout prix de se réfugier dans le marché obligataire. La raison est simple: la faiblesse des taux d’intérêt, tant au Canada qu’aux États-Unis, fait en sorte que les rendements obligataires sont inférieurs aux perspectives d’inflation, sans oublier que les frais de gestion viendront aussi appauvrir les investisseurs.